Après « Bon anniversaire, Sédar »(1996), « Sénéfobougou natal » (1997), « Chant du soir » (Xamal,1999), « Rumeurs des alizés » (2007), « Rayons de soleil sur Saint-Louis » (Négre international,2009), « Sur le long chemin de l’exode » ( Impulse éditions, 2010), »Que peut la littérature en ces temps de détresse ?(Calliopées, France, 2010), Alioune confirme sa vocation de poète avec cette dernière publication : « Les larmes du cœur » aux éditions Edisal.
Les larmes expriment les sentiments du cœur, nos émotions : dans la joie comme dans la peine, coulent nos larmes. Et ses larmes versées, reflètent notre état d’âme.
« Les larmes du cœur » du poète saint-Louisien Alioune Badara Coulibaly est une poésie de l’enracinement et de l’ouverture. Le poète rend hommage à ses proches disparus. Il célèbre l’amitié, la fraternité, l’amour. Il dénonce l’injustice et ouvre des pistes nouvelles pour une Francophonie plurielle.
D’ailleurs, à propos de ce livre de poésie, le Président du « Mouvement Poètes du Monde (Poetas del Mundo), Athanase Vantchev souligne : « Certains vers d’Alioune Badara Coulibaly ont la clarté et la profondeur de ce vers vibrant de Victor Hugo (1802-1885) qui chante dans ses « Contemplations » : « Tout est doux, calme, heureux, apaisé, Dieu regarde ». Comme ses mots du grand Novalis (1772-1801), le plus émouvant des romantiques allemands, conviennent à la poésie de Coulibaly : « Le poète représente l’irreprésentable. Il voit l’invisible, sent l’insensible… La poésie est le réel absolu. Plus une chose est poétique, plus elle est vraie… d’où le caractère infini, éternel, d’un bon poème. » Alioune Badara Coulibaly est convaincu que la fin propre de la poésie reste l’élégance et la grâce, que la poésie est non in verbis, sed in factis. Touchées par la grâce divine de la poésie, les choses signifient des vérités supérieures ».
Et le Poète Senghor de prédire que : « la Poésie ne doit pas périr et elle ne périra pas car alors, où serait l’espoir du Monde ? »
En vérité, la poésie sénégalaise est loin de s’éteindre.
Source: NDARINFO.COM
Les larmes expriment les sentiments du cœur, nos émotions : dans la joie comme dans la peine, coulent nos larmes. Et ses larmes versées, reflètent notre état d’âme.
« Les larmes du cœur » du poète saint-Louisien Alioune Badara Coulibaly est une poésie de l’enracinement et de l’ouverture. Le poète rend hommage à ses proches disparus. Il célèbre l’amitié, la fraternité, l’amour. Il dénonce l’injustice et ouvre des pistes nouvelles pour une Francophonie plurielle.
D’ailleurs, à propos de ce livre de poésie, le Président du « Mouvement Poètes du Monde (Poetas del Mundo), Athanase Vantchev souligne : « Certains vers d’Alioune Badara Coulibaly ont la clarté et la profondeur de ce vers vibrant de Victor Hugo (1802-1885) qui chante dans ses « Contemplations » : « Tout est doux, calme, heureux, apaisé, Dieu regarde ». Comme ses mots du grand Novalis (1772-1801), le plus émouvant des romantiques allemands, conviennent à la poésie de Coulibaly : « Le poète représente l’irreprésentable. Il voit l’invisible, sent l’insensible… La poésie est le réel absolu. Plus une chose est poétique, plus elle est vraie… d’où le caractère infini, éternel, d’un bon poème. » Alioune Badara Coulibaly est convaincu que la fin propre de la poésie reste l’élégance et la grâce, que la poésie est non in verbis, sed in factis. Touchées par la grâce divine de la poésie, les choses signifient des vérités supérieures ».
Et le Poète Senghor de prédire que : « la Poésie ne doit pas périr et elle ne périra pas car alors, où serait l’espoir du Monde ? »
En vérité, la poésie sénégalaise est loin de s’éteindre.
Source: NDARINFO.COM